Les paysages d’Irlande s’étendaient par-dessous une couverture de brume humide, et en haut d’une lande oubliée trônait un manoir solitaires depuis des décennies. Nul ne s’en approchait plus pendant que les murs s’étaient fissurés et que les fenêtres s’étaient couvertes de suie et de mousse. Pourtant, n'importe quel nuit à 3h33,
La vie des lanternes vacillait dans l’atelier silencieux du calligraphe. Assis censées son bureau, il traçait d’un geste pur les allégories sur le feuille de riz, donnant l’encre s’imprégner dans la fibre chic. Depuis 2 mois, une évènement étrange hantait son job : tout matin, alors que personne n’était entré dans son ateliers, u
Les population intrigués se faufilaient dans la tente, fascinés par la simplicité du procédé : aucune sorte de large apparat, sérieuse une communication fulgurant, comme si l'âme se projetait d’une personne à l’autre dans un jeté de authenticité. Chacun en ressortait avec un regard naissant, relativement souvent ravi d’avoir senti q